Intervention en irak
Comme notre sujet s´appelle lute contre la proflifération des armes de déstruction massive avec un accent mis sur le cas de l´Irak, pour bien illustrer la problématique il nous semble essentiel de parler d´abord de ses engagements internationaux dans cet égard. Les engagements que l´Irak n´a pas respecté ni avant ni après la première intervention en 1991. La première grande partie contient donc un propos sur points de départ pour l´intervention. Je vais traiter ce sujet dans deux sous-parties. Non respect des engagements internationaux de l´Irak ou on traitera ses engagements vis-à-vis des armes nucléaires, biologiques et chimiques ainsi que vis-à-vis des missiles balistiques. L´analyse de cette problématique nous aboutira a ma second sous-partie qui sera consacrée à comparaison de deux approches qui justifient de façon différente l´intervention en Irak en 2003, c´est à dire: concept de non-prolifération et concept de contre-proliferation.
A. Non-respect des engagements internationaux par l´Irak
Armes nucléaires:
L´Irak était l´Etat partie du Traité de non-prolifération nucléaire à partir du 19.oct. 1969. En même temps il a conclu un traité bilateral avec l´Agence international de l´énergie atomique qui avait pour le but une coopération entre l´Irak et l´AIEA dans le domaine de limitation des armes nucléaires. Selon l´Article II. de ce Traité l´Irak a été obligé de s´abstenir de toutes les forme d´acquisition, de production ou bien de développement des armes nucléaires. La construction du réacteur nucléaire d´Osirak en 1976 est consideré la première violation des obligations du Traité de non-prolifération nucléaire par l´Irak. Après l´intervention en 1991 l´Irak a eté obligé de détruire tous les matériaux nucléaires qu´il possédait et mettre au fin son programme d´armes nucléairs. Même si l´Irak n´a jamais posséde d´armes nucléaires on constate que ses efforts de les gagner pendant les années 70s et 80 étaient un