Interview de Georges Orwell
Mathis : Bonjour Georges Orwell, alors vous êtes ici sur ce plateau afin de nous présenter l’une de vos œuvre : La Ferme des Animaux publié en 1945 et traduit dans notre langue en 1947. Vous l’avez achevé en 1944 mais elle ne parait qu’en 1945 car durant la Seconde Guerre Mondiale, la Grande Bretagne était allié avec l’URSS et c’est ce pays soviétique que vous critiquez menant ainsi le refus de quatre éditeurs à publier votre livre. Vous êtes né le 25 juin 1903 à Motihari, une ville de l’Etat du Bihar en Inde. Alors, vous êtes écrivain mais aussi journaliste. Parlez nous un peu de votre livre. Je tient à lire à nos auditeurs la quatrième de couverture pour que vous puissiez resituez ce grand ouvrage : « ... »
Alexandre : Et bien tout d’abord l’histoire prend place dans « La Ferme du Manoir » dirigé par Jones, celui-ci s’occupe très mal de ses bêtes et passent plus de temps à boire qu’à produire des ressources. Un soir, Sage l’Ancien, le plus grand cochon érudit mais aussi le doyen des animaux a fait un rêve où il entrevoit une Révolution à la Ferme chassant Jones et où ils prendraient le pouvoir vivant ainsi dans la richesse et l’abondance. Un chant révolutionnaire est crée baptisé « Bêtes d’Angleterre » ainsi qu’une nouvelle politique est mise en place « L’Animalisme » régie par 7 règles faisant référence aux 7 commandements. Néanmoins au fil de l’histoire elles vont être modifiées dans le but de satisfaire les cochons.
Mathis : Une chose que nous avons pu tous remarquer, vous mettez en scène des animaux qui font la Révolution. Pourquoi ne pas plutôt mettre des hommes qui pointerai peut-être un peu plus du doigts la monté du régime totalitaire comme dans le livre « Matin Brin » de Paveloff ?
Alexandre : Je l’ais fais pour deux raisons : La première c’est que pour moi, tout le monde peut lire mes livres qu’on soit jeune ou âgé. De ce fait, je ne pense pas que les épisodes de bataille, de soulèvement ou bien