J - Bonjour Monsieur Appolinaire, merci de m'accorder cette rencontre qui m'enchante, je suis un journaliste mais avant tout un passionné de vos œuvres. Étant donc un grand passionné parmis tant d'autre, puis-je vous questionnez sur vos œuvres et sur vous par la même occasion?

A - Bonjour madame la journaliste, c'est pour moi un honneur de voir que mes lecteurs sont si intéressé et j'accepte volontiers vos questions et c'est pour cela que j accepte avec joie de répondre à vos questions le plus sincèrement possible.

J - Tout d'abord nous savons vous et moi que vous avez réussi aisément à vous faire un place durant notre siècle. D'après vous, grâce à quels atouts, quels qualités?

A - J'ai des qualités propres à ma personnalités. Je suis simple d'élégiaque dans Le Pont Mirabeau, naturisme d'esprit par mon attachement aux réalités, fantaisiste par mon ironie et mon intelligence d'éveil dans Annie et Calligramme et je reste fidèle au symbole Signe, Cors de Chasse.

J – Qu'est ce qui vous différencie des autres ?

A – Pour me distinguer des autres, j'ai essayé d'être original par mon jeu d’imagination, par les nuances de sensibilités et des modulations.

J - Une de vos œuvres m'a particulièrement touché et intéressé, pouvez vous nous parlez plus précisément d'Alcools ?

A - Je m'attendais à ce qu'on aborde de plus près cette œuvre ! Alcool est paru en avril 1913 et est composé de divers textes éparpillés et qui reflète parfaitement mon style poétique.

J - Juste une petite question, j'ai entendu dire que son titre primitif était Eau de vie, est ce vrai?

A - Tout à fait, ce que vous mentionnez est bien juste !

J - En quoi alcool reflète votre style poétique?

A - Durant la création du poème, d'un acte volontaire j'ai systématiquement supprimé toute la ponctuation, pour moi c'est comme une innovation pour moi. Malgré que le poème est une ponctuation pauvre et errante cela n'a pas empêché le succès de l'œuvre.

J - Je peux vous le confirmé,