Introduction au droit le droit est à la base de toute vie en société. les hommes mêmes s’ils ne s’en rendent pas toujours compte, sont en contact permanent avec le droit par ex : par la route qu’ils empruntent, par l’
Le droit est à la base de toute vie en société.
Les hommes mêmes s’ils ne s’en rendent pas toujours compte, sont en contact permanent avec le droit par ex : par la route qu’ils empruntent, par l’achat d’un crayon ou même par l’heure que dit l’horloge ;
Il n’est donc pas excessif de dire que c’est par le droit que toute civilisation se fait et que sont assurés la justice, la liberté, la paix, la prospérité et l’épanouissent des hommes ;
En revanche, lorsque le droit n’existe pas ou alors qu’il est méconnu, c’est la décadence, la dérive intellectuelle et morale, le régime des voyou, de la misère et des grands désastres comme le dit si bien le prof Philippe MALAURIE « le contraire du droit c’est la barbare » ;
Le droit constitue un phénomène social et normatif. De plus, chaque Etat a son droit. C’est d’ailleurs la traduction de la maxime latine « ubi societas ibi jus » à chaque société tout droit. L’essence des règles de droit est d’organiser la vie en société ;
Le mot droit a une double signification selon qu’il est employé au singulier ou au pluriel ;
← Au singulier : il est d’abord l’ensemble des règles de conduite qui régissent les rapports entre les individus dans une société donnée (c’est ce qu’on appelle le droit objectif ex : la majorité électoral est fixée à 20 ans) ;
← Au pluriel : il est une prérogative dont une personne déterminée peut se prévaloir en faisant recourt à la puissance étatique en cas de violations, c’est aussi une faculté qui lui est reconnue d’accomplir ou non certains actes : c’est le sens des droits subjectifs ex : un acte juridique (le contrat) ;
Les droits subjectifs ne doivent leur existence qu’au droit objectif. C’est d’ailleurs le sens de l’assertion du Doyen Jean CARBONNIER qui disait « si le droit nous permet de faire quelque chose (droit objectif) alors nous avons le droit de le faire (droit subjectif) » ;
Le droit qu’il soit objectif ou subjectif est