Introduction

Le marché national est de plus en plus saturé, le pouvoir d’achat stagne. Il est parfois plus facile de vendre à l’étranger que dans son propre pays.

L’internationalisation constitue un choix stratégique pour l’entreprise, ce choix ne peut résulter que d’une analyse de ses conditions de réussite. Celle-ci dépendant des capacités intrinsèques de l’entreprise et de ses compétences distinctives sur les marchés visés.

I. Dispositif public de soutient au commerce extérieur

1. Les missions économiques

Aujourd’hui on dénombre 150 missions économiques dans le monde. Ces organismes sont rattachés aux ambassades de France et emplois environ 2000 agents (110 pays). Ces structures ont pour mission principale d’informer l’administration française de la situation économique d’un pays et d’aider les entreprises françaises à s’implanter sur les marchés dont ils sont en charge.

L’assistance qu’apportent les missions économiques peut être de deux types : * Légère avec des listes projets, de fournisseurs, d’importateurs * Plus important en organisation sa projection et en l’aidant à faire son étude de marché.

Les ME organisent souvent des rencontres entre acheteurs étrangers et vendeur français, participe à des salons des fois et entretiennent des relations avec les principaux prestataires : banques et transporteurs…

2. DRCE

Ce sont les représentant en régions du ministère du commerce extérieur, plus proche des sociétés exportatrices.

3. UBIR

Agence française pour le développement international des entreprise * Elle peut fournir : * Informations commerciales * Informations juridiques * Informations méthodologiques * Informations statistiques * Informations logistiques * Informations fiscales

* Prestation d’assistance à la détection d’appel d’offre à l’international.

* Elle met à disposition des bandes de données internationales et puis la librairie du commerce internationale