Introduction / conclusion / plan détaillé. " l'aveugle " de guy de maupassant.
« L’aveugle »
A°) Répondre aux questions page 105. 1°) L’expression « bouc émissaire » signifie : Personne à qui l'on attribue injustement la responsabilité de tous les torts,toutes les fautes. L’aveugle est le souffre douleur des autres sans pour autant avoir fait quelque chose de mal… « Mais son impuissance à rien faire autant que son impassibilité finirent parexaspérer ses parents, et il devint un souffre-douleur, une sorte de bouffon-martyr, de proie donnée à la férocité native, à la gaieté sauvage des brutes qui l’entouraient. » (lignes 36 à 39). 2°) Proposrapportés au discours direct : « si l’enfant dit : « il a fait beau tantôt ! », l’autre répond : « Je m’en suis… … en place. ». » (lignes 12/13) « en balbutiant « La charité s’il vous plait. ». » (ligne65) « Puis il ajouta : « Bast ! faut pas… …manger la soupe. ». » (lignes 74 à 76). Propos rapportés au discours indirect : « il affirma devant ses gens qu’il ne l’avait plus retrouvé. » (ligne74). Ces propos représentent la réalité sans toutefois l’idéaliser. 3°) Les parents de l’aveugle s’occupent plutôt correctement de lui. « Tant que le père et la mère vécurent, on eut à peu prèssoin de lui ; il ne souffrit guère de son horrible infirmité. » (lignes 16 à 18). A la mort de ces parents, il n’est pas apprécié par les autres paysans qui lui reprochent de trop manger. « toutle monde dans la ferme le traitait comme un gueux qui mange le pain des autres. » (lignes 19/20). Il est victime de farces cruelles par ses camarades. « On imagina toutes les farces cruellesque sa cécité put inspirer… … il protégeait et défendait son assiette. » (lignes 40 à 54). Il se fait frapper par les autres paysans. « et le beau frère… … le frappa, le gifla sans cesse… …les bras étendus pour éviter les approches. » (lignes 57 à 63). Son beau frère le contraint à mendier. « Enfin, on le contraignit à mendier… … il ne rapportait pas un sou. » (lignes 64 à 68)... [à continuer]