Investissement et croissance
a) Augmentation duPIB/habitant
b) Accroissement des recettes fisclaes -> Augmentation des dépenses publiques dans la santé et l’éducation -> Augmentation de l’espérance de vie, de l’alphabitisation, du taux brut de scolarisation
(a+b) -> augmentation de l’IDH
c) satisfaction des besoins élémentaires
(a+b+c) -> Développement
En second lieu, une croissance même soutenue ne permet pas toujours un bon développement.
Le développement suppose que l’Etat, le Gouvernement, manifeste la volonté d’affecter les richesses à l’éducation et à la santé.
Prenons le cas de le Chine, âr exemple. Cette puissance rêve de s’affirmer comme un pays riche et développé mais elle se détache difficilement de son statut de "pays en développement". La croissance annuelle moyenne de son PIB/habitant est exceptionnelle : durant la période 1975-2000, elle atteignant 8,1 %, si bien que son PIB/habitant s’élève à à 3976 $ en 2001. Malgré cela, entre 1990 et 2000, la part des les dépenses publiques d’enseignement dans le PIB ont chuté de 0,2 point et celle de santé de 0,3 point. De plus, on remarque une donnée impressionnante : lors de l’année 2000, encore 25% de la population n’avait pas accès à l’eau potable. [Documents 1 et 3]
Enfin, la croissance économique ne s’accompagne pas toujours d’une hausse du niveau de vie et du bien être.
Certains pays possédant une bonne croissance économique, mais dans le même temps, le niveau de vie de leur population. semble limité. C’est le cas de l’Inde. En effet, on observe que ce pays a accumulé une croissance annuelle moyenne du PIB/habitant correcte durant la période 1975-2000 (+3,1%). Malgré cela, le bien être de sa population est loin d’être satisfaisant. Par exemple : le pourcentage des habitants connaissant une sous-alimentation était de 25% en 1990 et a seulement diminué de 1 point dix ans plus tard. [Documents 1 et 3]
Conclusion :
La croissance peut favoriser le développement en permettant à l’État