Ironie voltairienne
Voltaire était un grand intellectuel il faisait fonctionner son cerveau pour son époque. On ne peut pas dire qu’il a marqué dans l’histoire de la philosophie, il n’en a laissé aucune trace. Mais c’était un grand intellectuel, il s’autorisait à braver les autorités pour dire ce qu’il pense.
Dans Candide, Voltaire démontre un nouveau style littéraire le conte philosophique. Le conte philosophique est une histoire fictive, produite par l’auteur dans le but de peindre une critique de la société et du pouvoir. Dans cet œuvre Voltaire critique les philosophes de son époque qui ont oublié de parler des thèmes desquels Voltaire en parle dans son ouvrage (Leibniz, Wolf), l’Eglise, le roman sentimental, l’optimisme de Pangloss, donc de Leibniz, l’intolérance, le bêtise, l’obscurantisme, le fanatisme, la guerre et la triste condition féminine de son époque.
Quelques exemples : critiques à Leibniz Pangloss qui donne une leçon de physique expérimentale à la femme de chambre p.33.
La guerre : Candide avec les Bulgares. Voltaire a toujours pensé que la guerre est la négation de l’humanité. Il veut démonter méthodiquement le fait de faire la guerre. Il décrit des choses horribles, mais il prend de la distance ironique, ce qui fait que c’est tolérable à lire. C’est ironique, drôle mais au fond atroce. Distance ironique également dans l’histoire de Cunégonde et de la vieille.
Le roman sentimental : L’amour entre Cunégonde et Candide. Dans le premier chapitre, quand Cunégonde fait tomber son mouchoir. Il a fait en six lignes ce que dis un roman sentimental en six chapitres. Et également à la fin il se moque de ce style, lorsque Candide ne trouve Cunégonde plus belle et grasse, mais laide.
L’Eglise : Dans Candide, tous les chrétiens, juifs et musulmans commettent tous les péchés. Mais également dans le chapitre trois, la religion encourage la guerre, quand le roi Bulgare fait des prières à Dieu pour l’aider dans la bataille.
L’intolérance : c’est un