Islande
LE DEROULEMENT
Le candidat se présente (nom, prénom, âge, éventuellement situation matrimoniale ou familiale), évoque son parcours antérieur (niveau d’étude en précisant le type de filière et de bac, expérience professionnelle) et les raisons qui le conduisent à présenter sa candidature au concours. Entraînez-vous à brosser un CV oral avec concision, ponctué des quelques points charnières de votre parcours sans vous perdre dans les détails. Les motivations succinctes ont pour fonction d’orienter l’intérêt, donc les questions ultérieures du jury. Sachez les expliquer et mettez en avant le fait que vos goûts (pour les responsabilités, les contacts humains, etc.) correspondent au métier de gendarme.
Vient ensuite un ensemble de questions qui portent sur les motivations du candidat, sur la fonction à laquelle il prétend, sur ses conceptions du travail, sur les connaissances du candidat à propos de l’environnement professionnel auquel il aspire, voire sur ce qui l’attend au sein de l’école. Montrez que vous connaissez bien la Gendarmerie. N’arrivez pas à l’entretien en posant des questions sur le recrutement du gendarme, son travail ou son salaire. Vous êtes là en connaissance de cause et non par simple hasard.
L’entretien se poursuit par quelques questions concernant la culture générale du candidat, toujours dans nos domaines spécifiques, sa connaissance de l’actualité et du monde dans lequel il vit : les grands débats, les « faits de société »…Il est bon de lire les journaux, au moins un magazine hebdomadaire d’informations si vous n’avez pas l’envie ou le temps de lire un quotidien. Mais réfléchissez à ce que vous lisez ou entendez : tout emmagasinage d’informations non digérées est nocif et mieux vaut dans ce cas affronter le recruteur avec son seul solide bon sens.
Afin de mieux connaître le profil du candidat, le jury pourra lui demander quelques précisions sur la présentation (l’autoportrait) faite en début d’entretien.
QUESTIONS