J.-luc la fin du monde, jean-luc la fin du monde
1er mouvement : Louis, l’année d’après...2ème mouvement : Le retour imaginé...3ème mouvement : … par la volonté de tout maîtriser.1er mouvement : lignes 1 à 19 : Louis, l’année d’après Les quatre premières lignes sont pour le moins déroutantes pour le spectateur : on y voit des séries de compléments circonstanciels qui ne paraissent pas logiquement rattachés à leurs verbes.Plus tard, l’année d’après / j’allais mourir (au lieu de « je mourrai », « je serai mort »…) j’ai près de trente-quatre ans maintenant (là, ça va, mais ce qui suit nous rend perplexes:) c’est à cet âge / que je …afficher plus de contenu…
L’anaphore « l’année d’après » est répétée trois fois. Le sens s’éclaire alors un peu plus si l’on connaît le prologue d’une réécriture de Juste la fin du monde, Le Pays lointain . Là, l’auteur fait préciser par le fantôme de l’amant de Louis à quoi correspond cette date : c’est le début de son veuvage et d’une période où il se met alors à attendre son propre décès, puisque lui aussi est