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Jacques le fataliste

357 mots 2 pages
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Jacques le Fataliste et son maître de Diderot

Contenu de l’œuvre décousu, propose des réflexions philosophiques. Œuvre originale par son fond et son contenu. Pensées de Diderot. Ouvrage sur la liberté par forme et thème. Roman d’expérience, atypique. Interrogation sur limites du personnage. Incipit, jeu de questions réponses puis un dialogue sous forme théâtrale. Lecteur confus : permet de se poser ?

I. Forme originale :

A. Narrateur explicitement présent. S’adresse au lecteur : refus de lui donner des infos nécessaires au début. 5 questions traditionnelles : réponses insatisfaisantes (mais pas rhétorique).

B. Narrateur remet en cause cette espérance de réponse. Narrateur se sent tout puissant et « se moque » du lecteur. Il pense détenir la satisfaction de curiosité du lecteur. Liberté du narrateur et choix évènements. Narrateur jour avec le lecteur.

C. Forme théâtrale (dénonce d’ailleurs ses conventions), discours direct. Narrateur met le lecteur dans l’action. Action à l’intérieur du roman. Dialogue : véritable récit. Jacques devient narrateur. Différents récits dans un même récit. Récit entamé.

II. Récit traditionnel :

A. Narrateur donne des indices sur 5 personnages dans 2 situations différentes liées à la narration. Liens de soumission : capitaine-Jacques. Capitaine présent sous forme indirect dans parole de Jacques. Maître laisse la parole à Jacques. Il parait plus important que le maître, il mène le jeu. Il est donc narrateur avec ? Vrai personnage par rapport au maître.

B. Elément de temps, utilisation de passé et présent. Chaque récit à un déroulement chronologique. Narrateur évoque sa capacité d’innovation. 2 narrateurs propres à l’aventure, dépendant du déterminisme.

III. Réflexion philosophique et littéraire :

A. Existence du hasard par des actions sans explication, il explique l’errance. Caractère aléatoire qui touche les êtres.

B. Image de la guerre, fatalité de la mort. Volonté du destin

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