Jacques Prevert Paroles Le Temps Perdu
L’action du poème se passe à l’extérieur d’une usine. Il fait beau ce jour-là. Il n’y a qu’un personnage ; c’est un travailleur. La structure est simple : Il y a une strophe. Il n’y a pas de ponctuation, sauf un point d’interrogation à la fin du poème. On peut le lire avec un rythme subtil, mais il n’y a pas de rime. La dernière phrase est le dialogue interne pour le patron. L’auteur se sert de personnification. Dans le poème, le soleil sourit dans son ciel. Le poète souligne que le temps fait beau. Aussi, le beau temps tire le travailleur par la veste. Le temps n’a aucune de mains pour tirer. C’est un usage profond de personnification. Evidemment, le travailleur ne peut pas résister à rester dehors. L’auteur utilise un mot de vocabulaire intéressant. C’est le mot « con. » Ce mot est vulgaire en français. À part de la vulgarité de ce mot, le poème est inoffensif et sans malice.
Le thème du poème est la nature. L’auteur confère un nouveau sens à la nature parce qu’il souligne l’importance de la nature et le temps. Le poète utilise des images pour montrer ses opinions et pour décrire le beau temps. L’usine devient une prison pour les travailleurs, même le patron. À la fin du poème, nous trouvons que le travailleur est le patron. Le poème est ironique parce que le patron ne veut pas travailler parce qu’il fait beau dehors, mais il est responsable pour les travailleurs. Il faut qu’il les supervise.
Le temps perdu s’agit de l’importance de la nature, et l’économie qui empêche les travailleurs de l’apprécier.