Jacques prevert paroles
Jaques Prévert est un poète français qui à présent est considère l’un des plus grands poètes du XX siècle. Il fait partie du mouvement surréaliste et a vécu les deux guerres mondiales .De cette manière Prévert traite dans ces poèmes la banalité de la guerre et les immenses conséquences que celle-ci produit et ainsi donnant un certain pessimisme a ses poèmes. Dans ce commentaire on traitera premièrement les critiques directes de Prévert envers la guerre. Deuxièmement on analysera en quoi Prévert n’a pas perdu l’espoir car il croit fortement dans l’amour ainsi que la liberté.
En effet, l’ennemi détesté de Prévert est la guerre. Dans son poème « Barbara » un basculement se produit au vers 38 ou la guerre fait irruption dans le bonheur amoureux et le ton change ( « Quelle connerie la guerre »). CE changement de registre du langage indique la force de la révolte puisque Prévert utilise un vocabulaire argotique qui par définition est antipoétique. On constate la métamorphose de l’image de la pluie qui prend l’apparence du de déluge destructeur : « Sous cette pluie de fer/ de feu d’acier de sang (vers 40-41) » et répète dans les vers 50 et 51 « Ce n’est même plus l’orage / de fer d’acier de sang ».
On constate un pessimisme fort dans ce poème représente par le spectacle des ruines de Brest qui prend forme d’un paysage de cauchemar. « Mais ce n’est plus pareil et tout est abime/ C’est une pluie de deuil terrible et désolée (vers 48-49) » « Au loin très loin de Brest / dont il ne reste rien (vers 57-58) ». Le dernier mot du texte (« rien ») souligne le triomphe de la guerre ainsi que le verbe « pourrir » (vers 56). En conclusion on voit comment a travers le recours d’une seule image, la pluie, Prévert parvient a dénoncer avec force les horreurs de la guerre.
Le principal crime de la guerre aux yeux du poète est de séparer les amants.
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