• Comment réagissez-vous?
La perte d’un coéquipier, particulièrement une personne qui est appréciée par ses pairs dans l’entreprise peut avoir des conséquences désastreuses, voire déstabilisantes sur le reste de l’équipe (1). Ainsi, étant donné que les motifs de son congédiement n’ont pas vraiment été mis à ma connaissance, à l’instant de cette annonce je serai en état de choc et plutôt surpris car rien ne présageait cette triste nouvelle auparavant. De ce fait je serai donc remplie d’émotions négatives telles que l’insécurité, le scepticisme qui viendra augmenter mon stress et la culpabilité, car peut être j’en suis inconsciemment la cause de ce licenciement (2). Malgré le fait que je sois attristée par la nouvelle, je pense que mon rôle est de pouvoir rassurer les dirigeants réunis que le travail et nos missions seront accomplis, malgré le départ de Robert. Donc le départ de Robert ne remet pas en cause l’intégrité et le dévouement qu’on aura à la tâche.

Références
(1) Gestion des ressources humaines : cessation d’emploi. « en ligne ». http://www.culturalhrc.ca/hrtools/pdfs/F_Termination.pdf , page 14, page consultée le 17 novembre 2011

• Comment abordez-vous Robert lors de votre réunion de département de l’après-midi?
Malgré le fait que j’ai été mis dans la confidence du licenciement futur de Robert, il est de mon devoir de continuer à entretenir des relations saines avec ce dernier. Professionnellement, du point de vue éthique, il est aussi de mon devoir de respecter le caractère confidentiel de cette information (1). De ce fait, notre réunion se passera normalement sans que je ne laisse paraître un quelconque malaise dû à l’information que je viens d’avoir. De plus, la personne congédié mérite d’être traiter avec respect et de conserver sa dignité, quelques soient les circonstances (2). C’est pas parce qu’il sera congédié que l’on devra le traiter comme un employé qui n’a vraiment rien apporter à l’entreprise.
Personnellement je trouve cela