Bruce Nauman réalise de 1969 à 1970 une installation vidéo, où le spectateur enregistré, fait partie de la vidéo. Dans le couloir de Live-taped Video Corridor, le visiteur fait l'expérience perceptive d'une disharmonie entre sa progression et l'image contradictoire que lui en donne en temps réel un moniteur relié à une caméra de surveillance placée en hauteur à l'entrée du corridor.

The Legible City est une œuvre de l'artiste australien Jeffrey Shaw réalisée en 1990, en collaboration avec Dirk Groeneveld.
Sur un principe de simulation de déplacement, le spectateur est invité à parcourir, en pédalant et en orientant le guidon d'une bicyclette, une ville virtuelle dont les rues sont bordées de lettres en volume formant des mots et des phrases. Il y a ici le principe de l’interactivité, on est plongé dans l’image de synthèse. On parle de la notion de dérive : l’idée de se déplacer dans la ville sans aucun but, ni de destination précise. Cette image est langagière.

Cette œuvre de l'artiste coréen Nam June Paik est une installation réalisé en 1974. Une caméra vidéo filme la tête d'une statue ancienne d'un buddha, lui-même assis face à une télévision qui projette son visage en continu. Ici il confronte une divinité des siècles passés au petit écran.
Une œuvre présentée à la Maison Rouge, à Paris.

Pipilotti Rist réalise « Selfless in the bath of lava » en 1994. Cet œuvre est composé d’une petite vidéo incorporée dans un trou sur le sol. Dans la vidéo, l'artiste nage nue dans un bain de lave incandescente et s’écrie «Je suis un ver et vous êtes une fleur!". C’est une illusion, c’est du virtuelle.

La Maison sur la cascade est une maison faite par l'architecte américain Frank Lloyd Wright. Cette maison privée se situe dans la municipalité de Steward, aux USA. La spécificité de la construction est le fait qu'elle est partiellement construite sur une cascade de la rivière Bear Run.
Elle est un illustre exemple du concept de l’architecture