Je suis Funestre Hernani
Victor Hugo est un très populaire écrivain du 19e siècle. Ce dernier a publié de nombreuses œuvres dont presque tous les genres littéraires, que ce soit les romans, la poésie, les recueils posthumes, le théâtre, etc. Il s’oppose au courant littéraire du classicisme et il a donc été le chef de fil du courant romantique. Parmi toutes ces œuvres, l’une d’elle est très populaire et cause bien des rebondissements. Il s’agit de la pièce Hernani, qui a été publiée en 1830. Lors de sa représentation, plusieurs personnes montrent leurs oppositions, ce qui cause la bataille d’Hernani en février 1830. Victor Hugo tente de faire comprendre le mal du siècle de la réalité de l’époque à l’intérieur de l’extrait « Je suis funeste! ». Dans ce même extrait, le héros romantique vit un destin tragique sans aucun doute. Un destin fatal et un amour pratiquement impossible prouvent ce qu’Hugo défend.
Dans la première partie du texte, il est clair qu’Hernani vit un destin fatal. Comme le personnage principal est un bandit, il s’est occasionné beaucoup d’ennuis. Hernani sait qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre. Dona Sol, quant à elle ne veut pas que son Hernani meurt, mais Hernani sait qu’il n’a d’autres choix. L’auteur prouve cela en utilisant des mots comme « échafaud » (lignes 29-30), qui désigne la plate-forme où monte un condamné à mort, ou encore «linceul» (ligne 54), qui est une toile où l’on enveloppe les morts, ce qui explique très bien que le champ lexical de la mort est riche et il prouve que le héros romantique sent sa mort arriver. Hernani ajoute souvent «Je suis banni, je suis proscrit, je suis funeste !», cette phrase démontre aussi qu’il est très malheureux et que la fin de sa vie approche, ou encore «Un sombre dénouement» qui exprime que la fin de l’histoire ne sera pas heureuse. Afin de faire comprendre davantage, l’écrivain français utilise quelques