Jean charles de castelbajac etude marketing
SOMMAIRE:
Partie I- Présentation de l'entreprise :
a-Aspect Historique :
b-L’ entreprise de nos jours et ses difficultés :
Partie 2- Analyse en terme de marché :
a-Distribution (points de vente, offre et demande) :
b- Politique de communication :
c- Chiffre d'affaire, bénéfice et évolution :
PARTIE I a- Aspect Historique: . En 1969 il présente sa première collection sous le nom de l'atelier de sa mère rebaptisé par ses soins "Ko and Co". La même année, il utilise, pour son premier défilé, des matières détournées/ serpillières, éponges, toiles cirées... C'est une révolution et l'imposition forte de son style. En 1970, il fait la couverture de ELLE magazine et achète sa première Harley Davidson Duo Glide 1956, rouge pailletée.
Trois ans plus tard il rejoint le groupe "Créateurs et Industriels" créé par la grande Andrée Putman et Didier Grumbach, qu'il quittera en 1979 pour fonder sa propre société. En 1976, il crée la ligne Sportmax pour Max Mara.
Ce sont ces 9 années avec sa mère et au sein des "créateurs industriels" qui lui permettrons d'acquérir l'expérience nécessaire pour lancer sa propre marque en 1978 En 1982, les premières robes-tableaux voient le jour. Peintes par Jean-Charles Blais, Robert Combas (que nous avons eu la chance de rencontrer), Loulou Picasso etc.... Elles remportent un vrai succès! L'année suivante, dans ce même esprit décalé et origininal, il dessine des "hommages" à Mickey Mouse et à Louis XIV. Le défilé surprendra tout le monde et sera un très grand succès. En 1984 apparaissent les robes graffiti, les vêtements surdimensionnés: "vêtements Gulliver" et les robes-objets peintes en hommage à Andy Warhol. L'année suivante, la marque expose au Musée d'art moderne de Troyes, ce sera sa première réelle exposition de son travail "couture". En 1989, il ouvre sa deuxième boutique à Paris, rue des Petits Champs et établit une licence avec Ligne Roset pour des