jean-luc Lagarce, Nous les héros (1997)
C'est l'auteur contemporains le plus joué en France. Les objectifs :
- Montrer que nous sommes encore dans le dispositifs de l'impromptue.
- Dégager la réflexion sur le comédien que nous propose Lagarce.
- Mettre en relief le spectateur tel que le vois l'auteur.
I) Théâtre dans le théâtre
II) Réalité et illusion du vrai
III) L'impromptue ou l'école du spectateur
I)
Après la représentation, les acteurs échangent leurs impressions et règles leurs comptes. Pas d'auteur présent mais des comédiens joué par des comédiens. Le dispositifs est sensiblement le même que cher Anouilh c'est-à-dire la représentation d'une pièce qu'ils vont donner en spectacle. Mais ici en plus, les personnages sont des comédiens professionnels et ils discutent du théâtre une fois que le rideau est tiré.
La aussi nous assistons à quelque chose que nous ne devrions pas voir : le débriefing après la représentation.
Les masques des personnages tombent et le comédien refait surface. La pièce enchâssé n'est pas représentée mais elle est juste évoquer par madame Tschissik ( l 8-9-11). Elle évoque une scène finale d'une pièce dramatique. La didascalie finale de l'extrait indique que les comédiens sont sur scène et les spectateurs encore dans la salle.
Joséphine redevient personnage, celui qu'elle a été dans la pièce qui vient d'être joué. Il y a ici confusion entre la comédienne et le personnage qu'elle joue et du coup l'illusion théâtrale est pulvérisé. L'acteur fait irruption au sein des personnages et les spectateurs ris alors qu'il devrait pleurer. Le naturel tue l'illusion au théâtre. Le personnage doit apparaître et faire disparaître le comédien.
Le spectateur ne dois pas rire lorsqu'il faudrait pleurer car la magie du théâtre n'opère plus.
II. La réalité et illusion du vrai.
Le corps du comédien :
Comédien et metteur en scène sont absent sur scène. La mise en scène permet de se transformer en personnages. L'acteur