Jean morel
Convaincre (pp. 154-155)
- Une société embrigadée (pp. 170-171)
Encadrement de la jeunesse (fils de la Louve puis Ballila puis Avangardisti…, jeunes italiennes pour les filles)
Corporatisme : collaboration de classe, obligation d’adhérer à un syndicat fasciste
Dopolavoro (« après le travail ») prend en charge les loisirs des Italiens.
- Une propagande omniprésente (4 p. 154, 3 p. 177)
Propagande envahissante (radio, presse, cinéma = cinecittà)
Vie culturelle surveillée, contrôlée, utilisation de l’architecture
Réalisation de grands travaux (assèchement des marais pontins)
Rassemblement de masse
Le cœur du système
Un chef tout puissant et charismatique
(p. 152, 1 p. 166, 5 p. 167, 3 p. 177)
Le Duce chef infaillible qui a toujours raison, fait l’objet d’un culte de la personnalité…
S’appuie sur le parti national fasciste (PNF, 1921)
Devient le parti unique, celui des « squadre », chemises noires, rôle important du grand conseil fasciste (rassemble ministres, responsables du parti et hauts dignitaires du régime).
Le parti se confond petit à petit avec l’Etat, parti de masse.
Une idéologie, un projet (p. 153, 3 p. 167)
- Un régime fortement nationaliste - Le rôle clé de l’Etat : « L’individu n’est rien, l’Etat est tout » (Mussolini) - Intervention de l’Etat dans l’économie (1 p. 166) - Le projet expansionniste, le mythe de l’Empire romain (conquête de l’Ethiopie, puis Albanie…) - Un homme nouveau (viril, guerrier…) - A partir de 1938, une dérive vers l’antisémitisme (racisme)
Contraindre (p. 153, 22 p. 165)
- Lois fascistissimes - Existence d’une police politique qui traque les opposants : l’OVRA (organisation de vigilance et de répression de l’antifascisme) - Assassinats politiques (Matteotti) - Suppression des partis politiques - Suppression des libertés - Bagnes de feu (îles Lipari)
Le régime totalitaire