Jean paul sartre
Katy Doyle (groupe 301)
L’être humain
340-102-03 MQ
L’ÊTRE HUMAIN ET SES SEMBLABLES SELON SIGMUND FREUD ET KARL MARX
Travail sommatif #4
Travail présenté à :
Raymond Dionne
03 mai 2012
CEGEP de Val-d’Or
Né en 1905 à Parie dans un milieu bourgeois, Paul Sartre se démarque comme étant un philosophe, littérateur et militant de gauche. Il devient populaire En France et il utilise ses œuvres littéraires pour retransmettre ses idées philosophiques. Suite au décès de sa mère à sa naissance et au décès de son père, il devient orphelin à l’âge de deux ans. Il fera ses études à l’école normale supérieure et sera reçu agrégé de philosophie en 1928.
Lois antisémites, travail obligatoire, déportations, censure et répression : sous l'Occupation, la plupart des Français ne semblent avoir été libres que de subir et d'obéir. Rares sont ceux qui ont rejoint la clandestinité et la Résistance, et parmi ces héros, Jean-Paul Sartre ne se place pas au premier rang. Comment le philosophe s'est-il permis une affirmation aussi extravagante ? Veut-il dire que la vie continuait malgré la barbarie, et la fête dans les soirées parisiennes en dépit du couvre-feu ?
En fait, sa formule ne prend sens qu'au prix d'une nouvelle définition de la liberté. L'objectif théorique de L'Être et le Néant, publié en 1943, est de démontrer que l'homme est ontologiquement, par essence, liberté. Par sa conscience, il est capable de prendre ses distances avec le monde extérieur comme avec lui-même. Toute pensée sécrète, autour de l'homme, un néant : elle l'arrache à son contexte comme aux forces qui le conditionnent et l'oppressent. Par le simple fait d'exister et d'être conscient, tout homme est projet, visée. Selon une citation de L'Être et le Néant, il est même « condamné à être libre ». « Être libre n'est pas choisir le monde historique où l'on surgit – ce qui n'aurait point de sens