Jean-pierre rosnay, pour un art poétique 1978
En premier nous verrons la conception du poète par rapport à la poésie.
Avec une poésie perçue comme un additif, les effets positifs puis les effets négatifs.
Puis nous parlerons de la conception de la poésie par l’auteur.
Avec une poésie plus forte que la nature, et une poésie universelle.
Nous allons commencer par voir la conception du poète par rapport a la poésie.
Tout d’abord nous allons voir que dans ce poème, la poésie est perçu comme une drogue.
En premier lieu nous avons un champ lexical du médical avec « intraveineuse » ; « transfusion » ; « sang » ; « cervelle » ; « ciselé », de plus nous avons une énumération d’adjectifs fort « insubmersible, intraveineuse, la transfusion » la poésie dont nous parle Rosnay doit être quelque chose de fort, doit crée un lien fort, elle passe « de l’âme à l’âme » grâce à une « transfusion » elle passe dans les veines. C’est pour cela qu’elle peut être perçue comme une drogue qui nous rentre dans le corps.
De plus la poésie doit être comprise par tout le monde « phrase tout terrain ».
Plus tard nous voyons une suite, avec un mot négatif, un mot positif etc. « laboratoires […] jardins […] replis […] panoramas, ce qui crée un va et vient entre le coté positif de la poésie et le coté négatif. Mais nous allons nous intéresser au mot positif , la poésie dans cette suite est définis comme un monde qui offre un paysage surnaturel «