Monsieur le juge, messieurs et mesdames les jurés,

dans cette plaidoire j´expliquerai mes raisons pour exiger une peine moins forte pour l´accusé Monsieur Meursault. Pour commencer je vais répéter la situation du meurtrier pour vous expliquer les conditions de cet acte.

Juste pour prendre l´air à cause d´une indisposition, Meursault revenait à la plage. Il voulait prendre une balade, mais par hasard il rencontrait de nouveau l´Arabe. C´est sûr que Meursault ne se sentait pas à l´aise dû à la chaleur et à dû son ami blessé, pour cela Meursault n´est pas responsable de son acte. Sous le soleil son indisposition s´aggravait de nouveau, ce qui renforce son irrésponsabilité. Au point du meurtre mon client était étrange à lui même, en n´ayant plus conscience de ses propres gestes, ce qui lui dominaient c´étaient ces besoins physiques et ses sentiments.

Vous, les jurés, vous rendez sa conscience coupable d´un crime, dont le premier responsable est le soleil, qui lui a aveuglé son visage.

Durant le procès une question est posée plusieurs fois et c´est une question très important à repondre pour soulager la déclaration que Meursault a tué l´Arabe avec prémédité. C´est vrai que Meursault était armé à la plage, qu´il avait un revolver dans sa poche, mais seulement à cause de Raymond. Ce dernier lui a donné le revolver dans la première rencontre avec les arabes, de peur qu´il s´en serve lui-même.
Même s´il avait le revolver, il n´aurait pas hésiter de l´utiliser au début.
En voyant l´Arabe, qui tirait un couteau, dans lequel le soleil se réfletait, Meursault tombait en panique. Au-déla il savait que l´Arabe est dangereux et qu´il était armé, donc pour sauver sa propre peau, mon client a tiré. Je veux vous poser une question pour que vous puissiez mieux vous mettre dans la peau de Monsieur Meursault. Comment auriez vous vous comporter, si un Arabe armé était devant vous, prêt à vous attaquer. À mon avis, mon client peut estimer qu´il avait un revolver avec