Jeux vidéos conséquence
D’abord, une des premières conséquences que ce phénomène procure est la dépendance. En 1998, à l’université Simon Fraser, on a réalisé une étude qui a démontré qu’un adolescent sur quatre jouant à des jeux vidéo ressent une forme de dépendance à ceux-ci. On révèle aussi qu’il pourrait y avoir une explication psychologique au problème de la dépendance. En effet, les jeux vidéo libèrent de la dopamine dans le cerveau, c’est-à-dire, un neurotransmetteur associé entre autres aux sensations de plaisir. Cette sensation procure donc une dépendance. Le joueur n’a qu’une envie, celle de retourner au plus vite devant son écran. C’est ce qu’on appelle être à la recherche de l’excitation. C’est d’ailleurs un des deux types de préoccupations qui pousse le joueur à jouer et qui est le plus menacé vers la dépendance selon Serge Tisseron dans son livre « Qui a peur des jeux vidéo ?». Il explique que lorsqu’un ado compare le plaisir éprouvé par les jeux vidéos à sa vie réelle, il trouve souvent cette dernière peu intéressante et donc il a seulement le goût de jouer à son jeu. Par contre, il faut porter une signification particulière à la dépendance, car elle peut être pas seulement négative. Si un joueur est dépendant de son écran et de sa manette pour traverser un moment difficile de sa vie, ce n’est pas si grave. Mais si un autre joueur est dépendant de ses jeux vidéo pour se sentir exister, son cas est plus préoccupant. Une des catégories de jeux qui accroche souvent les jeunes est nulle autre que les jeux de rôle en ligne à utilisateurs