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Le 31 janvier 2011 (14:43) - par Reynald Fléchaux
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Rubriques : Offshore - Constructeurs - Editeurs -Opérateurs et intégrateurs réseauxTags : microsoft - hp - ibm - alcatel -offshore - orange - support - alcatel-lucent- centres-appel - delocalisation - Orange Business Services - Egypte
A mesure que la crise politique se poursuit en Egypte, les entreprises ayant délocalisé sur place, comme Orange, Microsoft ou IBM, doivent trouver des solutions pour se passer de leurs centres sur place. En espérant que la situation de blocage ne se prolonge pas trop longtemps.
Trois jours après ce qui apparaissait comme impensable - la coupure des communications par un pays bien présent dans les échanges internationaux -, les entreprises occidentales implantées sur place - l'Egypte étant depuis quelques années une terre d'accueil pour les activités délocalisées - tentent de s'organiser. A l'instar d'autres entreprises hexagonales comme Lafarge, France Télécom a rapatrié une vingtaine de Français travaillant sur place. Ce qui ne constitue que la partie émergée de l'iceberg pour l'opérateur possédant de nombreux intérêts sur place : l'opérateur mobile MobilNil, un FAI, un laboratoire de R&D et un centre de services d'Orange Business Services employant 1 350 personnes. Cette dernière activité, un centre d'appels pour les clients entreprises et des activités de back-office pour ces mêmes marchés, oblige d'ailleurs France Télécom à rapatrier les services opérés sur place vers ses autres centres travaillant en langue anglaise alors que la situation sur place se durcit (appel à la grève générale, couvre-feu à partir de 15h). "Une cellule de crise, avec les responsables locaux, a été activée et les appels des clients ont été reroutés vers d'autres centres sans impact majeur sur les clients", expliquait en milieu de matinée un porte-parole