jonathan harb
Réponses
Analyse
Le frontispice :
On l’appelle PN car il a une patte noire. PN est un garçon de 21 ans
Les deux cochons blancs sont un garçon et une fille. Le garçon a 15 ans et la fille a 10 ans.
Les deux gros, celui qui a la tache noire est la mère et l’autre est le père.
Nour se projette sur la famille de Patte Noire.
Il s’identifie à Patte Noire en lui donnant son propre sexe.
Les deux gros sont les parents.
Les frères et les sœurs sont les petits cochons blancs et apparaissent comme des rivaux réels.
Remarque : Dans la réalité de la situation familiale, N a trois sœurs plus âgées que lui (13 ans, 14 ans et 17 ans).
Planche 1 :
Auge : Image non choisie
P-I : Je préfère être un de ces 2 blancs cochons qui dorment, j’aime dormir comme lui. PN saute sur l’herbe.
Dans l’histoire, l’image n’est ni aimée ni choisie. N essaie de camoufler son agressivité envers ses parents tout en scotomisant l’image et en refusant d’y voir un geste agressif.
Aux P-I : N s’identifie à un cochon qui s’endort afin de scotomiser le geste agressif contre ses parents
Planche 2 :
Baiser : Les parents s’embrassent. PN se cache derrière le mur, les regarde. Il est triste.
P-I : Image non choisie.
L’évocation du sentiment de tristesse note la jalousie qui tourmente N, enfant œdipien.
Aux P-I : l’image est rejetée. La situation œdipienne refoulée provoque de l’angoisse et la haine des parents.
Planche 3 :
Bataille : image non choisie
P-I : j’aime frapper PN, je ne l’aime pas car il a une patte noire. je préfère être celui qui mord.
Dans l’histoire, le refus de cette planche met l’accent sur le sentiment de culpabilité contre l’agression fraternelle.
Aux PI : N éprouve une peur de cette différence (de la patte de PN), c’est son miroir donc pour éviter cette différence il s’identifie à l’agresseur.
Planche 4 :
Charrette : Un homme