Jorge et le labyrinthe de l'Aleph (1844)
Selon lui le récit renvoie désormais à d’autres livres et plus au monde, crises de la …afficher plus de contenu…
L’Immortel1. La fiction du manuscrit retrouvé. Une mise en abîme, on l’impression que l’antiquaire c’est l’immortelle. Il parle plusieurs langues avec ignorance. Manuscrit plein de latinisme qui fût sa langue. Son épuisement c’est celui de quelqu’un qui a vécu depuis des siècles. Il est défini comme quelqu’un avec les traits vagues reflet de toutes ses identités. Un déni d’identité. Il réutilise une légende très célèbre, le juif errant. Un cordonnier a ri au moment de la crucifixion, sa punition est d’errer éternellement sur Terre, il n’est ni mortel ni vivant il perd tout le sens de sa vie. Au XIX on aura plusieurs récits, le juif errant d’Eugène Sue (Le Vaisseau fantôme, Wagner). 2. Épigraphe des essais de Francis Bacon, le thème de la mémoire.L’idée contenue dans le livre de l’ecclésiaste, il n’y a rien de nouveau. Bacon compare ceci à la doctrine platonicienne de la réminiscence. En rapprochant