Le lundi matin (de 9h à midi), on m’a expliqué comment les architectes trouvaient un projet et du travail : sur des sites spécialisés, ils sélectionnent les offres qui les intéressent. Après, ils envoient une candidature qui dépend des demandes sur l’offre (un « book » qui contient les photos de trois bâtiments construits selon les normes BBC* ou HQE*, par exemple). Parfois, ils demandent des bureaux d’études (experts en une matière, comme l’économie du chantier pour l’économiste) en plus. On m’a fait travailler sur un appel d’offre pour la mairie du village de Saint-Etienne-Vallée-Française. Le lire était très compliqué car il contient plein de mots professionnels. Quand j’avais bien compris tout le texte, on m’a demandé de lister tous les critères. Le cabinet d’architecte devait avoir des qualifications en HQE et/ou BBC et des ingénieurs structure, infrastructure, un économiste et un OPI* (c’est Carole DURU qui s’en chargera). On m’a demandé d’envoyer des emails aux bureaux d’études qui ont l’habitude de collaborer avec les architectes chez qui j’ai fait mon stage pour leur proposer de travailler sur ce projet avec eux. Puis j’ai rempli les dossiers d’administration en avance sur les logiciels Word et Photoshop. Ils étaient déjà prêts, je n’avais juste qu’à mettre le nom et les références (mail, nom du gérant…) des bureaux d’études. Malheureusement, la pose du midi arrive et je dois rentrer chez moi.

Le lundi après-midi (de 14h à 17h) fut nettement moins passionnant. Je devais attendre les réponses des entreprises auquel j’avais envoyé un mail le matin. En patientant, on m’a fait découper des cartes de vœux. Puis un ouvrier qui travaille sur leur plus gros chantier d’un mini complexe hôtelier avec des gîtes, un château et un espace bien-être est venu parler des avancements des travaux. D’après ce que j’ai compris, le chantier traîne un peu. Il devait avoir plus de précisions sur certains changements du plan. Puis il a fallu se renseigner sur les nouvelles