CHAPITRE V :
→ « Je préfère la lumière du couchant sur mes mains à l’or qu’elle me propose. Je préfère mes vêtements de drap à vos perruques in-folio. Je préfère mes poules aux violons du roi et mes porcs à vous-mêmes. »
→ « Toinette et Madeleine étaient effrayées par l’aspect de leur père » → « Votre palais est plus petit qu’une cabane et votre public est moins qu’une personne »
CHAPITRE VI :
→ « Madeleine devenait belle, d’une beauté mince » → « Toinette progressait en joie » → « Sa main se dirigeait d’elle même sur la touche de son instrument et il se mit à pleurer » → « Une femme très pale apparut […] c’était sa femme »
CHAPITRE VIII :
→ « Un grand enfant de dix-sept ans, rouge comme la crête d’un vieux coq » → « Madeleine le trouva très beau » → « Il s’appelait Marin Marais. Il était joufflu. […] recruté à cause de sa voix pour appartenir à la maitrise du roi dans la chantrerie. […] sa voix s’était brisée »
→ « C’est ainsi qu’un adolescent qui n’osait plus ouvrir la bouche rencontra un homme taciturne » → « Vous faite de la musique, Monsieur. Vous n’êtes pas musicien »