Julia
1) Limites de la conscience
* Pour Descartes, le psychisme se résume à la conscience
* Or limites : . Nos percept° sont-elles conscientes ? Leibniz : lorsque je perçois la mer, il y a en réalité le bruit de milliers de petites gouttelettes d’eau que je perçois sans m’en rendre compte & qui permet de mieux voir le tout . Qui pense vraimt lorsque je pense ? Nietzsche : pr lui, Descartes n’aurai pas pousser le doute assez loin. Il aurait été victime de la grammaire ; il aurait du en déduire « ça pense » car une pensée ne vient pas quand je veux. D’après N. ce que l’on pense de nous même ne renvoie pas en réalité à notre intimité.
Pr Platon penser est un dialogue silencieux de l’âme à soi même. Or on parle ac des mots qu’on a reçu de notre éducation → mots trop généraux pr exprimer notre ressenti singulier. Plus largement pour N. l’homme à dév. une conscience pour des fins de communication. Ce dont on a conscience est ce qui nous est utile à transmettre → ID paradoxale car la conscience, loin d’être individuelle renvoie en réalité à ce qu’on a de plus Grégoire en nous.
2) La découverte de l’inconscient
* Freud (1856-1939) renouvelle le « connais-toi toi-même » de Socrate. Il va s’intéresser aux maladies de l’esprit, la folie. Le fou est qqn considéré comme dangereux car il peut donner lieu à un comportemt irrationnel, imprévisible, insécurisant. Freud va soigner l’hystérie par l’hypnose (= technique permettant de modifier l’état de conscience du patient). Grâce à cela les patients subissent une catharsis (=purgation, purification).
* Pour Freud, l’hystérique souffre de réminiscence (= forme de souvenirs sans qu’il y ait reconnaissance de lui-même ≠ d’une remémoration au sein de laquelle le souvenir réapparaît tel quel ds le pleine conscience de lui-même .
* Seulement l’hypnose ne fonctionne pas sur tous & ne guérit pas en profondeur, donc F. va mettre au point une nvlle technique : la