Juliette ou la raison moral
Juliette ou raison et moral comme titre défend la thèse principale à savoir que « le mythe lui-même est déjà raison et la raison se retourne en mythologie »
Comme doit on comprendre ce passage dans une optique en relation avec les industries culturelles et la raison totalitaire et technique accomplissant des tache qui ne font que consacré la domination de la raison instrumentale où l’absence de raison supérieure ou bien dit totalitaire ne peut conduire l’espèce humain à un instinct primaire.
Dans le recours à l’histoire de Juliette par Adorno et Horkheimer s’illustre une image philosophique d’un personnage mythique bouleversé par l’expérience de l’absence, une absence de la divinité qui conduit le lecteur à méditer sur le moral contesté puisque la mort ou la disparition d’une puissance divine entraînera de façon logique la disparition de la différence entre le bien et le mal, pour qu’elle ne reste que la suprématie de l’instinct.
L’histoire de Juliette pour Adorno et Horkheimer est une question de débat moral où les être humains suivent une règles qui ne conduit qu’à une conservation de soi, en même temps Adorno et Horkheimer font appelle à la définition de Kant donné à « l’Aufklărung » où ce dernier la présente comme un moment où l’homme sort de sa minorité dont il est lui-même responsable. La minorité est l’incapacité de servir de son entendement sans l’aide de quelqu’un d’autre, dont on ne fait guère confiance à l’individu.
Juliette est plutôt convaincu de sauver le plaisir en rejetant l’amour désintéressé un désir associé à la vénération de l’être qui le produit c’est pourquoi convaincu du motif Kantien du respect pour la forme de la loi morale afin de produire des gens éclairés mais aussi de produire des déséquilibrés Juliette donc pour Adorno et Horkheimer pratique la transpersion des tabous et des interdits pour Juliette il n’y a pas de plaisir qu’elle ressent dans la destruction et l’humiliation de l’autre par ses propres armes ,cette