Justice et droit de l'hommisme
&
Droit de l’hommisme
Justice et droit de l’hommisme.
Sommaire
Introduction
page 2
Partie I,
Critique interne des Droits de l’Homme (différentes conceptions).
page 6
Partie II,
Le droit de l’hommisme un excès, une idéologie, un risque ?
page 12
Partie III,
Le droit de l’hommisme comme valeur hyper-occidentale critiqué par des civilisations non-européennes.
page 17
Conclusion
page 22
Développement
Introduction,
L’hégémonie grandissante des pays des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) tant sur un plan économique qu’aux niveaux des valeurs semblent témoigner d’un certain recul des pays occidentaux en terme d’autoritarisme notamment. Cependant, ceux-ci s’affirment comme étant les principaux prêcheurs du respect des Droits de l’Homme et d’une justice universelle. Né dans ces sociétés «développées», quel serait donc l’avenir pour ce droit de l’hommisme, dès lors que de nouvelles cultures sont désormais en mesure de les concurrencer.
Il convient tout d'abord de revenir à la genèse du sens du mot justice et ainsi redéfinir ce terme. Ainsi, la justice est d'abord l'institution qui dit le droit, qui se charge de l'appliquer et de sanctionner les infractions aux lois. Dès lors, nous pouvons nous poser la question de la valeur de ce droit et donc de sa légitimité, sur ce qu'il représente et ce qu'il permet. Par ailleurs, rapidement, un paradoxe survient. En effet, le problème est celui d'une articulation entre la justice légale (droit) et la justice morale. Y a-t-il alors une définition universelle de la justice ou n'est elle, au mieux, que le résultat des coutumes de chaque pays, (selon la thèse de Pascal), au pire, qu'une mystification,
(selon celle de Marx), pour un fonctionnement efficace du droit qui permet aux privilégiés de préserver leurs intérêts ?
En second lieu, considérons à présent la justice comme