Kaboul
Atiq traîne d’autant plus difficilement sa malvie, que sa femme s’efforce de remplir sa tâche ménagère mais ne trouve pas la force de répondre au désir de son mari. Elle le devine malheureux et ne l’acceptant que parce qu’elle lui a sauvé la vie des années auparavant. De son côté, Mohsen avoue à sa femme qu’il a participé à une lapidation de femme et qu’il en a éprouvé une jouissance coupable.
Devant ces aveux dictés par le désir de transparence et de vérité vis-à-vis de la femme qu’il aime, Zunaira réagit très mal et s’emporte. Par la suite, elle voudra se racheter et lui propose une promenade dans Kaboul. Mohsen dans un premier temps refuse avant de se laisser convaincre dans le but secret de se réconcilier avec sa femme. Dehors, après un contrôle humiliant, il va être sommé de rejoindre la cohorte de gens pour écouter un prêche. La bouillonnante Zunaira sera obligée de l’attendre sous un soleil de plomb, emmitouflée dans un tchadri étouffant. Elle en gardera rancune à son mari. Au retour à la maison, c’est la scène de ménage, l’épouse bouscule son mari sur la défensive, qui tombe à la renverse et se tue. Zunaira est condamnée expéditivement à la lapidation et emprisonnée dans la prison de Atiq.
Acculée par sa fin programmée, n’ayant