Kant : critique de la raison pratique
Kant, l'auteur de ce texte, développe le thème de la liberté à partir de deux situations. Sommes nous de nous même entièrement libre ? Il met en avant deux idées différentes qui soulèvent le problème que l'on est soit commandité par nos penchants ce qui pouverait que l'on est pas totalement libre. Ou alors, soit au contraire que l'on peut vaincre nos penchants par l'éxistence d'une certaine "loi" auquel cas, on pourra affirmer que l'on est bien libre de nos actes.
Nous passons à l'explication du texte, dans un premier moment de la ligne 1 à 6 ( Supposons [...] ce qu'il répondrait) nous y découvrons le discours d'une personne totalement soumise à ses penchants au plaisir. Tout d'abord, Kant met en place une situation où le personnage cède à chaque fois << que se présente l'objet aimé et l'occasion>> (l2,3). Par conséquent, en vue de son"impossibilité d'y résister", Kant montre qu'il n'a guère le choix entre céder ou ne pas céder. Ne dit -on pas <<C'est plus fort que moi >>? Ses désirs sont pour lui une sorte de pulsion instinctive qui agit sur lui comme une contrainte à sa liberté. De par sa définition, liberté désigne l'état qui ne subit aucune contrainte quelque soit sa nature. Partant de cette définition de liberté, il en résulte, que le personnage, insérré dans cet extrait, n'est pas libre malgrés qu'il soit un "être humain". Prenons l'exemple des animaux et de leur liberté; on mettra l'hypothèse qu'ils ne le sont pas et ceci en justifiant qu'ils ne font que suivre leur "pulsion animale" et qu'ils agissent par instinct. Dans ce cas, l'animal n'a pas le pouvoir de choisir s'il doit suivre ou non son instinct. Ainsi, le personnage de cet extrait montre des simulitudes par son caractère incontrolable fâce à ses penchants. Mais Kant, de la ligne 3 à 7 donne à son personnage l'occasion d'assouvir un de ses penchants au détriment de sa propre vie; qu'elle réponse tiendra t'il ? Soit il ne pourra