Kant vs Rousseau
Rousseau et Kant, 2 grands philosophes, ont élaboré chacun une théorie dans lequel l’humain chute dans le mal.
Avant tout, essayons de comprendre comment l’humain de Rousseau vivait-il dans un monde sans violence. L’environnement était favorable à la survie de l’homme. Ainsi, l’homme n’avait qu’à satisfaire ses 3 besoins élémentaires; manger, s’accoupler et dormir. Facile à combler, ces besoins physiques lui était indispensables pour sa survie et il n’avait qu’à se concentrer sur cela. C’est passions aucunement développer ne pouvait lui causé problème, puis qu’il ne connaissait rien d’autre que ses besoins élémentaires et ses deux craintes (la faim et la douleur).
Ainsi, l’homme naturel ne dépendait pas de personne pour combler ses besoins. Avec si peu de passion et des besoins faciles à combler, l’humain sauvage est plutôt un être solitaire. Les hommes s’évitaient et même s’il se rencontrait, il ne faisait que passer l’un à côté de l’autre.
Dépourvu de moralité, il n’avait aucune notion du bien et du mal. Alors même s’il voyait de la violence, il ne pouvait dire si c’était juste ou injuste et ne pouvait même pas penser à une vengeance. Bref, l’humain avait l’ignorance du vice.
Les 2 principes naturels qui excitaient dans l’âme humaine étaient l’amour de soi et la pitié naturelle. Il formait une sorte d’équilibre. L’amour de soi permettait à l’homme d’assurer sa survie. Puis de l’autre côté, la pitié naturelle permettait d’avoir une sensibilité à la souffrance d’autrui. Les 2 mis ensemble assuraient une harmonie. L’homme tout en essayant de combler ses besoins ne pouvait faire du mal ou causer une souffrance aux autres. La pitié naturelle était en contre poids avec l’amour de soi.
Les hommes d’autrefois n’avaient nul besoin de loi. La pitié était une force innée en eux qui empêchait toute violence. Ainsi, il n’avait aucune sorte de