Kiki

2168 mots 9 pages
De tout temps, l'être humain croit en une destinée, en un demain. Ce besoin poussant l'individu à survivre a fondé les religions autour des questions concernant l'au-delà, le monde des morts. Univers étonnant à la fois repoussant et attirant. Qu'existe-t-il après la vie ? Idées fondatrices des civilisations antiques, d'arts anciens, d'une étonnante cohésion sociale dans laquelle la Religion prend soin de contribuer à l'équilibre et au bon fonctionnement de sa sphère d'influence. Illimité dans ses interprétations du monde, elle fut l'auteur des pyramides, des temples Incas. Arts religieux par excellence. Ils dépassent la nature pour se rapprocher des Dieux, les tombeaux égyptiens en sont des exemples. Néanmoins, l'histoire nous montre que les civilisations basées sur les croyances s'effondrent, disparaissent tout comme les modes : elles ne sont qu'éphémères devant l'action du temps. Par conséquent, nous pouvons nous demander si la religion ne se voit pas limitée à une fonction de groupement mais aussi à une fonction de division. En somme de toute chose à la définition de l'alchimie : « une personne ne peut rien gagner sans perdre quelque chose. Pour gagner une chose, il en faut une autre d'une valeur équivalente ». Dès lors, comment peut-on définir la religion ? En quoi est-elle source de formation et source de réduction ? Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre dans différentes parties. Par leurs visualisations successives, nous serons amenés à voir les incohérences religieuses.

La religion est avant tout ancrée dans la définition de l'humain. Les animaux préméditent leur mort alors que les Hommes en ont conscience. La croyance forme avant tout des bases éducatives comprenant un ensemble de valeurs dont la liberté, l'égalité, le respect. Dans certaines, des rites se voient enseignés aux futurs adeptes tels que la prière lors des repas, autant de manières pouvant par la suite s'inclure dans les cultures traditionnelles avec, par exemple,

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