L'été meurtrier de salomon
Les autres, quand je commence à parler, ils ont toute de suite quelque chose à faire” P 153“Elle me reagarde avec un visage plus vieux, beaucoup plus vieux que vingt ans, et tellement froid, tellement sans coeur” P 154L’acte de l’accusation : la mère“Tout le monde me croit allemande, mais je suis autrichienne. Les Français ne font pas la différence” P159Culpabilité : “Je ne lui ai pas dit que j’aurais pu descendre au village” P 162“Ou peut-être, j’invente, je m’accuse …afficher plus de contenu…
Peut-être, ce n’était vraiment que l’angoisse” P 163Description de son mari : “Toi aussi, tu m’as battue (…) Cela non plus, je savais qu’il ne le ferait pas (…) C’était un homme qui avait peur de tout (…) Il était encore plus avare que peureux, et c’est pourquoi je ne l’aimais pas” P 169“S’il ne l’a jamais fait, c’est pour ne pas se fâcher avec sa soeur Clémence qui a du bien de sa belle-famille et qui lui a promis l’héritage” O 170“A un moment, j’ai eu envie de rire en voyant que la vie continuait, qu’il n’était, pour ainsi dire, rien arrivé” P 170“Le docteur conte, je n’avais pas un grand respect pou lui, parce que j’étais sotte et que sa tenue n’était pas celle d’un docteur comme on l’imagine” P 171“Il avait l’air, comme tous les Français, d’être puni pour une faute qu’il n’avait pas commise” P 173“Quand tu verras le Danube, les ennuis seront finis”<->“C’était un grand fleuve gris comme les autres” P 174“Il se sentait fort, et même moi, qui le