Dans la première réplique du texte, Cléanthis exprime sa confusion ainsi que son indignation envers Arlequin lorsqu’elle comprend qu’il demande pardon à son maître Iphicrate. Elle utilise l’impératif : « Expliquez-moi » et dit : « Il semble que vous lui demandiez pardon ? ». Par la suite, à la ligne 3, elle évoque un « projet », terme qui implique probablement une planification de vengeance sur le long terme. En lui répondant, Arlequin reprend les mots de Cléanthis : « Mais enfin », « projet » pour montrer …afficher plus de contenu…

», la formule de politesse : « ma chère » ainsi que la phrase exclamative : « quel exemple pour vous ! », lui montrant son dédains et sa supériorité. Iphicrate prend maintenant la parole et montre clairement qu’il se situe dans le camps des maîtres avec Euphrosine et Arlequin. En effet, il utilise l’impératif « Dites » et s’inclut avec Euphrosine en disant : « quel exemple pour nous ! », faisant référence a Arlequin. De plus il fait une phrase déclarative : « vous m’en voyez pénétré. » signifiant qu’il est convaincu par Euphrosine. Cette scène 10 se conclut par une tirade de Cléanthis qui se présente comme un réquisitoire où elle accuse Euphrosine et …afficher plus de contenu…

Voyons, ne seriez-vous pas bien attrapés ? ». Ensuite la bonté : « Non », « Non », « point du tout » en utilisant la négation pour démontré que les serviteurs sont l’opposé des maîtres. Pour finir elle vente leur qualité d’être réfléchis, vertueux et censé dans une nouvelle énumération en rythme ternaire qui fait un parallélisme aux qualités matériels des maîtres: « avoir le coeur bon, de la vertu et de la raison ». Il y a ensuite une gradation: « ce qui est estimable » ; « ce qui distingue » ; « ce qui fait qu’un homme est plus qu’un autre » pour insister sur la supériorité de la valeur moral des