En 1839, après une tempête au large de Cuba, les esclaves transportés à bord de l'Amistad, un navire espagnol, parviennent à se libérer. Après avoir passé leurs bourreaux par les armes, Cinqué, leur leader, exige du capitaine de faire route vers l'Afrique. Mais celui-ci, profitant de l'ignorance des mutins, met le cap sur l'Amérique où ils seront jetés en prison. Le voyage dura plusieurs semaines. Lorsque que les esclaves échouent sur la terre, la marine américaines les captures. Il s'ensuivra un étrange procès avec des accusés qui ne parlaient évidemment pas l'anglais mais qui refusaient d'être traités, comme le voulaient les esclavagistes, comme des marchandises ou des animaux. Deux abolitionnistes, Theodore Joadson et Lewis Tappan, engagent un jeune avocat, Roger Baldwin, pour assurer leur défense. La bataille acharnée autour de leur procès attire l'attention de la nation toute entière et met en cause les fondements du système judiciaire américain. Mais pour les hommes et les femmes emprisonnés, il s'agit tout simplement du combat pour le respect d'un droit fondamental et inaliénable: la liberté. Suite à l'importance de ce procès le président Van Buren changea et choisi un nouveau juge dont il croyait au départ d'un procès sans importance. L'avocat des esclaves trouva un traducteur et désormais les esclaves peuvent s'exprimer librement. Au bout du troisième procès, une condamnation tomba, les navigateurs espagnols Jose Ruiz et Montes fut emprisonnées mais les africains ne sont toujours pas libre. Un 4 eme procès de très grande importance va avoir lieu devant la cour suprême afin que ces esclaves deviennent libres. Pour cela Theodore Joadson fait appel à John Quincy Adams, anciens président des États-Unis qui est lui aussi abolitionniste et grand orateur, pour défendre cette cause. La Société Abolitionniste Américaine obtient la libération des mutins grâce à un plaidoyer de John Quincy Adams et doivent être reconduits au plus vite dans leur foyer.