La bataille de verdun
La bataille de Verdun se termine le 19 décembre 1916. Les ressources en hommes et en matériels de l’Allemagne diminuent. Les allemands commencent à souffrir de la guerre et le moral est bas. L’armée allemande exécute le plan de Falkenhayn : amener le plus grand nombre de force française sur un champ de bataille bien déterminé (Verdun) car la ville se trouve près des usines d’obus et des voix de chemins de fer et permet aux soldats d’attaquer de trois cotés. De plus la proximité de Verdun ne demande pas de déplacer énormément leurs troupes. En choisissant un point précis dans la ligne du front les allemands évitent de trop dégarnir les autres fronts et renforcent la puissance de feu. Le lundi 21 février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. 1300 obusiers ravagent la zone. L'infanterie allemande monte à l'assaut des lignes françaises. Certains soldats sont équipés d'un lance flammes. Les poilus résistent à la première attaque. Philippe Pétain, commandant de la IIème Armée, organise la riposte .
Mais les attaques vont se renouveler pendant plusieurs mois. Il n’obtient pas de renforts mais les troupes sont renouvelées, et toute l'armée française va connaître « l'enfer de Verdun » ! Le général Joffre, commandant en chef des armées françaises éloigne Pétain le 1er mai 1916. Le 22 juin apparaissent les bombes au phosgène, un gaz mortel en quelques secondes. Le 1er juillet a lieu la bataille de laSomme, pour soulager le front de Verdun, elle se termine par un échec sanglant. Le 24 octobre, l'armée française de Verdun, sous les ordres du général Robert Nivelle, entame une