Fantastique
On peut trouver aussi au roman un côté fantastique avec les expression d’un environnement de mystère, les personnification et les hallucinations,
D’abord, les scènes dans le roman, surtout dans le moment où se déroule un accident ou une crime, sont couverts par la nuit, par le froid ou par la solitude. Exemple : Deux arrêts de La Lion par la neige dans la nuit dans le chapitre 7
Ensuit, Zola exploite les phénomènes hallucinatoires chez les personnages avec différents buts pour le sens et la portée donnés.. On trouve deux types d'hallucinations :
Premièrement, les hallucinations représentent quelque chose de recherché : Par exemple dans le chapitre 7, Jacques et Pecqueux croient voir les feux de la voie: "les yeux fixes, dans l'attente des feux rouges, si absorbé en son vouloir, qu'à deux reprises il eut l'hallucination de brusques étincelles sanglantes", de même pour Roubaud qui hallucine des brigands qu'il recherche, ou encore Flore qui a des visions de son projet d'accident. Ces hallucinations sont les choses dont l'esprit désire la réelle vue. Le personnage sort inconsciemment de la réalité.

Deuxièmement, c’est l'hallucination d'excuse qui sert à refuser ce qu’on a vu : Par exemple lorsque Jacques parle du meurtre de Grandmorin dont il vient d'être témoin: "Ce n'était sans doute qu'une imagination. Et tout cela le glaçait, lui semblait si extraordinaire, qu'il finissait par admettre une hallucination, née de l'affreuse crise qu'il venait de traverser. "Ici Jacques n'accepte pas ce qu'il a vu, il tente de substituer l'hallucination à la réalité. Il veut sortir de la réalité.

En fait, les hallucinations sont bien liées à la fatalité, car ce sont des visions d'actions du futur ou alors d'objets créant l’ avancée dans le temps. Donc Zola a créé une histoire fantastique grâce au progrès qui existe bien et à la marche vers un avenir largement utopique.

Puis, Zola a formé des images surprenantes en utilisant la personnifiaction.
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