La bijouterie fantaisie
Chacun est libre, selon ses désirs, d'apporter ici via ses commentaires sa propre pierre à cette étude (bloggeuses, site de E-commerce de bijoux fantaisie, créateurs). Toutes les expériences sont bienvenues.
Selon une étude, datée de fin 2011, menée par Xerfi intitulée « Le marché de la bijouterie fantaisie à l’horizon 2013 : perspective de développement et analyse de la structure concurrentielle par grand circuit de distribution », le marché de la bijouterie fantaisie continue de progresser en dépit de circonstances économiques moroses. Selon le Xerfi, il devrait continuer de croître pour atteindre 1,4 milliard d’ici 2013, soit une progression de 17% par rapport à 2010. Cette progression ne doit pas faire oublier les efforts continus que les spécialistes du secteur devront faire pour se différencier sur un marché dont les perspectives de croissance attirent des acteurs de plus en plus nombreux. Une multiplication des acteurs
Largement atomisé et en évolution permanente, le marché de la bijouterie fantaisie attire de plus en plus de distributeurs : des enseignes d’accessoires de mode entrée de gamme (Moa), comme haut de gamme (Réminiscence, Clio Blue), ou encore le géant du cristal taillé Swarovski, en passant par des marques au positionnement intermédiaire (Ubu, Uno de 50). L’étude analyse également l’offre et le positionnement de divers circuits de distribution, à la fois concurrents et partenaires des spécialistes de la bijouterie fantaisie : bijouteries traditionnelles, grands magasins, chaînes de prêt-à-porter, grandes surfaces alimentaires, marques de luxe, pure players Internet, etc.
De ce foisonnement, les experts de Xerfi tirent un constat de fragilité des acteurs traditionnels de la bijouterie fantaisie, dont la part de marché s’érode régulièrement depuis 2002. Fragilité accentuée par :
la montée en puissance des bijouteries de centres commerciaux, dont la part de marché