La bioéthique
Selon le document 1, extrait d'un article du Monde datant du 27 juin 2000 de Noëlle Lenoir; présidente de groupe européens d'éthique de l'Union européenne et menbre du Conseil constitutionnel, la manipulation sur l'embryon consiste à déceler les gènes de celui-ci et peut-être même les modifier. Ce nouvel atout de la science permet d'identifier les gènes défectueux portant une maladie grave, se qui pourrait éviter à un être de vivre avec cette souffrance. A terme, la science pourra aussi guérir ces gènes et donc sauver des vies avant même qu'elles naissent. Si nous pouvons éviter toutes ces maladies grave qui obligent ces personnes à suivre des traitements lourds, cela sera aussi positif pour les comptes de la Sécurité sociale car ces traitements sont coûteux.
Nous pouvons donc penser que cette avancée serait un gros avantage pour l'Homme, qui pourra même dans plusieurs année, éliminer définitivement toutes ces maladies graves, mais la deuxième partie du document présente aussi tout les risques que cela peut apporter.
En effet, la science peut détecter ces maladies, mais pour l'instant, elle ne peut pas les guérir. Donc, une fois la maladie prouvée, le seul moyen de la détruire est de tuer entièrement l'embryon, et cela revient donc à tuer un petit être malgré tout. Cette pratique parait donc cruelle et horrible. Trier les embryons et éliminer les défectueux