La bête humaine
Ce passage est tirer du 17ème volume des Rougon-Maquart, de l'œuvre « La bête humaine » d'Emil Zola.
Ce passage est propre à l'œuvre de Zola. Tout d'abord par un coter réaliste, parce que son œuvre se rapproche le plus possible de la réalité, son texte est écrit à la troisième personne du singulier et son histoire à un lien avec le contexte historique de son époque. En effet, à son époque, le système judiciaire visait à clôturer une affaire le plus vite possible pour être bien vu aux yeux de l'État, quitte à acheter la non-culpabilité d'un riche pour ne pas mettre en danger la société. Zola montre son avis sur cette politique en romançant une histoire type.
Aussi, Zola est un auteur du naturalisme. En effet, Zola prend Jacques Lantier, qui fait partit de la famille des Rougons-Macquart pour faire appel à l'hérédité de cette famille. A cette époque, on pensait que les maladies (folie, alcoolisme,...) se transmettait par l'hérédité, voilà pourquoi Zola accentue sur la famille de Jacques et sur l'hérédité. Le naturalisme ressort aussi par le titre de son œuvre, « La bête humaine », bête pour le coter naturel, méchant, violent, animal; et humaine pour le coter humain, amour, folie, tromperie,... Le train qui est présent tout au long de l'histoire n'est pas là par hasard, Zola à écrit ce texte durant l'époque des machines d'où la présence de ce train.
Dans ce texte, la valeur symbolique est exprimer par le train, Jacques Roubaud aime le train, plus qu'une femme; il décrit de manière précise son train, les actions qu'effectuent le train,... Zola utilise aussi les symboles de la mort, de la violence, de l'amour, de la folie, de l'hérédité et de l'animal.
La valeur fantastique est présente, d'abord par l'hérédité car aux yeux de Zola, la folie est héréditaire, or scientifiquement, elle ne l'ai pas. Par la maladie étrange de Jacques,