La chvelure
Proposition dʼintroduction identique pour les deux poèmes : Après la publication des Fleurs du mal, Charles Baudelaire poursuit son exploration poétique à la recherche de nouvelles formes de création. C'est ainsi qu'il reprend 3 poèmes de ce recueil pour les transposer en prose. • L'invitation au voyage • Le crépuscule du soir et La chevelure dont il est question ici. On a donné à ces poèmes le noms de doublets Le doublet de La chevelure a été inspiré par Jeanne Duval, dont on devine les caractéristiques sensuelles dans les deux poèmes, de même qu'on y retrouve des thèmes caractéristiques de la poésie baudelairienne (exotisme, désir d'ailleurs, souvenir, sensualité,etc) à partir de là, introduisez la problématique : Exemples : • approche comparative des deux oeuvres • évocation de la femme à travers l'un ou l'autre poème • évocation de l'ailleurs dans l'un ou l'autre poème • à quoi tient la singularité de ce texte ? (singularité = spécificité, particularité, originalité) En voici deux que j'ai trouvées sur internet : 1° Comment le poète passe t-il de la description de la chevelure à celle d'un univers tout entier ? 2° Qu'est-ce qui fait l'originalité de ce poème amoureux ? Pour ces 2 problématiques, le plan est simple : 1° Comment le poète passe t-il de la description de la chevelure à celle d'un univers tout entier ? Il s'agit de caractériser ici le point de départ du "voyage" ( = la chevelure, qui est aussi le point de départ de l'écriture) et son arrivée : l'univers idéal de l'ailleurs poétique. I - La chevelure, source d'inspiration du poète. 1 - Une énonciation singulière : le poème s'adresse à la chevelure ➙ relever les occurrences du tutoiement (v.8,10, 14, 31,33, 34 ) et du vouvoiement (qd il s'adresse aux cheveux) v.27,28 ➙ relever les apostrophes et les ≠ termes qui désignent la chevelure (v. 1,2, 10, 26,...)
2 - La chevelure, métonymie de la femme. ➙ alors que le v.1 et le v. 31 font ressortir une animalité qui peut surprendre