La Cité grecque selon Aristote
Le mépris de la loi s'étend au mépris des magistrats et aux conseils, aux tribunaux, ce que plus tard Montesquieu appellera les corps intermédiaires. Le peuple veut prendre tous les pouvoirs jusqu'à une confusion des pouvoirs entre les mains du despote. Ce n'est pas une constitution, Aristote expose une théorie classique chez les grecque mais sa préférence va vers un régime pondéré entre les pouvoirs, la politeia. Au contraire, si le despote accapare tous les pouvoirs, c'est un régime simple.
* La Cité, achèvement de la sociabilité.
* (Une psychologie de) la domination pervertit les régimes.
* On peut mettre l'arbitraire dans la monopolistion des pouvoirs.
* La concorde dans l'égalité de la loi.
I - L'évolution vers la Cité politique. / L'unité/concorde des citoyens sur la loi.
II - Le risque d'une dénaturation ou d'une dérive.
Régime sain/régime malsain. Idée que pour les grecs, ce fonctionnement sain nécessite un certain contexte favorable. Ce n'est pas inéluctable, il n'y a pas de déterminisme