La commission bastarache
Après plus de un mois d’audition des différents acteur de la commission bastarache, on peut se rendre compte que l’exercice était tout à fait inutile. C'est là le grand défi qui attend le commissaire, Me Bastarache. Il lui sera presque impossible de trancher en faveur de l'un ou de l'autre car un des fait le plus important de Me Bellemare est la rencontre du 2 septembre 2003. Pourtant, Jean Charest nie complètement cette rencontre ce qui nous place dans un énorme jeu de «trouvons le menteur» Dans le journal «La Presse», le 15 octobre dernier, Serge Chapleau as publier une caricature ou l’on vois le juge bastarache se tenant la tête a deux mains en regardant une feuille ou le seul mot inscrit dessu est : Rapport. Cette caricature laisse supposée que le juge Bastarache ne sais pas quoi faire dans son rapport car il ne sais pas qui ment et qui dit la vérité. Le fait qu’il se tienne la tête a deux main prouve bien qu’il est confus et ne sais pas quoi décider, qu’il est décourager. Le rapport est vide aussi pour prouver que le juge est pris du «syndrome de la page blanche». Il doit décider qui ment de l'avocat ou du premier ministre. Michel Bastarache a entre ses mains la carrière de l'un et de l'autre. Mais sa capacité à distinguer le vrai du faux au terme d'une enquête de 6 millions $ et de tout un tohu-bohu médiatique reste bien incertaine. Le juge as donc une énorme tache devant lui car les versions des faits des 2 hommes peuvent être remis en doute. Personnellement, l’image ne ma frappe pas tant que cela, car j’ai beaucoup suivi la commission bastarache, alors je savais a l’avance que le travail de serait pas facile pour le juge. C’était certain que le premier-ministre n’allait pas laisser Me Bellemare détruire sa crédibillité comme cela sans rien faire et vice-versa. Je pensse que les deux de leur coté ont un peut exagéré l’histoire et c’est cette conclusion je pensse que le juge va avoir car il y as trop de personne qui contredise Marc