La communication persuasive
Nous avions choisi de vous présenter à l’oral la communication engageante comme la continuité de la communication persuasive, pourtant dans certains cas, la distinction n’est pas évidente pour tout le monde.
D’après l’article que nous avons traité, il était clairement exprimé que la communication engageante devait servir de levier afin de déclencher un acte comportemental, si toutefois, la campagne de communication persuasive (servant à informer et sensibiliser) a bien été diffusée.
Afin de ne pas répéter ce qui a déjà était dit lors de notre exposé, nous avons choisi d’approfondir la connaissance théorique sur la communication engageante sans son application dans l’article comme nous l’avions fait avec notre plan de communication sur ce thème.
Les origines de la communication engageante :
Historiquement, les premières études qui ont étudié les caractéristiques de la communication persuasive ont été effectuées dès la Seconde Guerre mondiale par l'équipe de Hovland. Ces travaux se sont largement inspirés de la conception des sophistes et rhéteurs de la Grèce antique concernant l'élaboration des stratégies argumentatives (Bromberg, 1983, 1991). Pour Hovland et son équipe, leur mission était de faire en sorte qu’en 1945, lorsque l’armistice a été signé, que les soldats ne perdent pas leur motivation au combat. Pour ce faire, ils ont volontairement diffusés de faux messages radio, disant que la guerre avec les japonais serait beaucoup plus longue et qu’il fallait être à la hauteur. Avec ces messages, les soldats ont implicitement été stimulé et leur morale affaiblie par la distance avec leur famille, et la fin de la guerre, s’est vu regonflé.
Les objectifs :
Comme toute communication, la démarche de la communication engageante est d’incité à un comportement voulu. Hors, à l’instar d’une communication produit on ne sollicite pas un acte d’achat mais un acte volontaire pouvant impliquer un don de soit (comme pour le