I. Une génération se construit-elle avec un ou plusieurs individus ?
A. La solidarité / Le collectif (Musset & Lagarce)
B. Rupture entre les différentes générations d’âge (Sabatier, Guigou, Favre)
D’après le texte de Musset on s’aperçoit qu’une génération se construit grâce à une sorte de solidarité entre individu. Il démontre comment un épisode historique est fédérateur et donc constitutif d’une génération. En effet on peut constater que Napoléon 1er a fait disparaître la notion d’individu au profit du commun, du collectif. Tout le peuple fût rassembler et ont été déterminés à se révolter. De plus, Lagarce nous démontre concrètement que cette thèse est correcte selon lui, avec l’exemple du virus du sida dans son auto biographie, ou il explique comment nait le premier du 3eme groupe d’appartenance.
Elisabeth Guigou, Anaïs Favre et Patrick Sabatier, nous expliquent que la différence d’âge peut construire plusieurs générations. Avec le temps, nous nous apercevons que les générations sont coupées entre elles du au passé, et à ce qu’il se passera dans le futur. En effet, on peut comparer la génération de nos grands parents avec notre génération. Celle de nos grands parents est bâtie par rapport à leurs histoires qu’ils ont pu connaitre comme la guerre, dont ils ont dus construire une grande solidarité entre individu pour s’y confronter. Par contre notre génération n’est pas basée par les mêmes critères de sélections, vu que nous ne vivons pas la même histoire que nos précédents descendants. Elisabeth Guigou nous prouve que par ses analyses qu’il y a que des faits marquants comme la déshumanisation de la seconde guerre mondiale, et qui ont rendu la civilisation humaine totalement absurde. Il y a donc une création d’une génération s’opposant aux valeurs de telles sociétés. On constate donc que les générations peuvent se construire à partir de situation de crise. En outre, Anaïs Favre pense qu’une génération peut être conçue par une communauté unie par un profond