La contribution du réalisme et du libéralisme dans la guerre en afghanistan
Travail de recherche
Dans le cadre du cours POL 2503A
Introduction aux relations internationales
Au professeure Hélène Pelerin
Par
Jose Irambona
5042198
École d’études politiques
Université d’Ottawa
Remise le 30-NOV-2010
LA CONTRIBUTION DU RÉALISME ET DU LIBÉRALISME DANS LA GUERRE EN AFGHANISTAN
Le début du 21e siècle est loin d’avoir commencé en beauté. D’innombrables catastrophes à travers le monde ont coûté la vie à des milliers d’innocents. Notamment par des séismes, des ouragans ou quelconque forces de la nature. Cependant, nous en tant qu’humains n’avons aucun contrôle sur les déchaînements de la nature. En revanche, bon nombre de nos problèmes actuels sont une conséquence directe de nos actions. Il s’agit là des guerres civiles ou encore d’attentats terroristes. Effet, le domaine des relations internationales est toujours sujet à des tensions et des conflits étatiques. Non seulement, le nouveau millénaire a hérité des périples du siècle précédent mais aussi, de nouveaux conflits ont faits surfaces. Cependant, bon nombre de nouveaux conflits constituent l’aboutissement de conflits et des tensions antérieurs complexes. La guerre en Afghanistan est un parfait exemple de cela. Dans le cadre de ce cours de politique, nous allons analyser la contribution du réalisme et du Libéralisme dans les enjeux de la guerre en Afghanistan. Avant d’étudier le cas de l’Afghanistan, élaborons d’abord sur ces deux concepts théoriques.
Commençons par le Réalisme. Dans le contexte de la théorie réaliste, l’État est le centre, l’acteur principal et l’unique joueur dans la société internationale (approche stato-centrique). Les réalistes attestent que le système international est en état d’anarchie et de guerre. En effet, avec l'absence de gouvernement mondial central supérieur les États sont autonomes et indépendants. L’objectif de tout État est la puissance même si c’est au dépend