La corrida
La polémique entre les adeptes de la corrida et les protecteurs des taureaux continue à faire rage.
Voici quelques années, qu’une réelle polémique s’est installée envers la corrida, sport que certain dénonce comme barbare. Une question houleuse persiste, faut-il arrêter ce sport ? Car la corrida suscite un réel engouement de grands amateurs dans certaines régions et même pays, mais il est vrai que de plus en plus de gens sont contre ce type de sport. A partir de documents écrits, je vais soulever les points positifs et les négatifs de ces courses de taureaux, en réalisant une synthèse.
Pour commencer, la corrida fait partie intégrale de la culture, et des traditions Espagnoles et de la France méridionale, ces jeux musicales, plein de couleurs et qui sont surtout dangereux passionnent des milliers de personnes. La corrida dégage de la beauté et une réelle émotion esthétique, surtout le début du toreo de cape. Ces spectacles taurins, sont toujours aussi nombreux, dans les alentours de 2 000 chaque année.
Ensuite, dans les régions de culture taurine, l’influence des érudits de tauromachie est un des enjeux économiques locaux. En effet, avec aux alentours 2 000 corridas sur l’année, le chiffre d’affaire des arènes peut s’élever à plus de 3 millions d’euros en reprenant les chiffres de l’année 2006. A ces 3 millions d’euros, l’économie de la corrida se porte d’autant mieux en comptant les ferias. Celle de Pâques annonce la venue d’environs 200 000 personnes dépensant chacune entre 100 et 150 euros et la feria nîmoise avec ses 300 000 érudits. La tauromachie est un secteur économique à ne pas négliger.
Outre l’aspect culturel et économique évoqué au par avant, la corrida permet la survie des taureaux de combats car sans la corrida il n’y aurait plus d’élevages taurins, et la biodiversité en serait atteinte. La corrida a d’autres points positifs, elle permet de préserver de grands espaces libres et